PASSION AUTO, PASSION PERMIS, PASSION F1

La F1 se cherche encore et toujours. Le problème, lui, demeure des plus simples: Bernie Ier et les siens ne trouvent rien, pas le plus petit début d’une révolution captivante!

F1

1. Week-end magnifique à Martigny (VS) pour les fans de l’automobile. Le premier salon Passion auto show a accueilli plus de 12 000 visiteurs sur près de 10 000 m2. Pratiquement toutes les marques du marché, une trentaine de garagistes locaux: les futurs clients avaient tout loisir de faire connaissance avec leurs futurs véhicules dans un climat amical et compétent. Monté avec le professionnalisme des organisateurs de la fameuse Foire du Valais, ce premier salon du véhicule neuf a tout pour devenir le deuxième événement romand derrière l’inatteignable Salon de Genève. En tout cas, l’équipe de la Revue Automobile a adoré: un sans-faute pour une première et une proximité avec les passionnés dont toutes les manifestations devraient s’inspirer.

2. Spécial jeunes conducteurs dans votre RA, mais pourquoi diable? Parce que le permis demeure, quoi qu’on en dise, un must absolu, même s’il reste un vrai parcours du combattant pour les jeunes (lire l’article d’Eugenio D’Alessio en page 8). En 2010 (derniers chiffres officiels disponibles), 81% des adultes résidant en Suisse détenaient un permis de conduire. Cette part a progressé depuis 1994, en raison de la forte augmentation chez les personnes de plus de 65 ans. A l’inverse, elle s’est réduite dans le groupe des 18 à 24 ans (cf. l’article de Lorenzo Quolantoni en page 10), passant de 71% à 59% entre 1994 et 2010. A noter que près de 79% des ménages suisses possédaient au moins une voiture de tourisme en 2010 et 30% indiquaient en avoir deux ou plus. Si la proportion des ménages avec voiture s’est accrue entre 1994 et 2005, elle a ensuite légèrement reculé.

3. Qu’est-ce qu’on s’ennuie en ce début de saison de formule 1! Sa Majesté Bernie Ecclestone espérait que ses nouvelles qualifications avec un couperet toutes les minutes trente pimenteraient l’exercice: chou blanc; le résultat est désastreux. Quant au déroulement des courses, au suspense intrinsèque, il nous reste nos yeux de passionnés pour pleurer… Décidément, la F1 se cherche encore et toujours. Le problème, lui, demeure des plus simples: Bernie Ier et les siens ne trouvent rien, pas le plus petit début d’une révolution captivante!

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