Même si elle étrenne une vitre arrière très étirée ainsi qu’un toit qui n’hésite pas à descendre très bas sur la vitre arrière, la Classe E se pare — sans véritable surprise d’ailleurs — des lignes adoptées par les carrosseries des autres coupés du constructeur à l’étoile, les coupés S et C. Il faut dire que la plastique des deux belles avait été particulièrement saluée.
Habitabilité
A bord, le cockpit est à peu de chose près exactement le même que celui des berlines et break. Seuls certains éléments différent comme le dessin des aérateurs centraux, ou encore le choix des matériaux d’ambiance. Côté habitabilité, les passagers arrière profitent de 7 cm supplémentaires pour l’espace aux jambes.
Si elles n’ont pas encore été dévoilées par Mercedes, les versions siglées AMG (E 43 et 63) feront bien évidemment partie des modèles proposés au catalogue. Il faudra donc, pour le moment, se contenter des E 200 et E300 dotées d’un 4-cylindres 2.0 de respectivement 184 et 245 ch, de la E 400 équipée d’un V6 3.0 de 333 ch, et enfin, de la diesel E 220 d munie d’un 4-cylindres de 194 ch. La boîte manuelle n’est proposée sur aucun des modèles, l’automatique à 9 rapports étant imposée sur tous les blocs.
Commercialisée au prix de 61 100 francs, la nouvelle Classe E sera dévoilée au public pour la première fois au salon de l’automobile de Détroit l’année prochaine. Elle est l’avant dernière carrosserie prévue dans la gamme E, le cabriolet étant l’ultime déclinaison de cette gamme pléthorique.